BIO

Portrait guilhem flouzat

Guilhem Flouzat a appris l’art de la pulsation et posé les bases de son identité musicale lors de 7 ans passés à New York, où il a collaboré entre autres avec Lionel Loueke, Becca Stevens, Chris Cheek, Dave Liebman, Linda Oh ou encore Gilad Hekselman.

Il accompagne notamment le trio du pianiste Maxime Sanchez, l’Amazing Keystone Big Band, le projet Remember Stan Getz de Sylvain Rifflet, la reprise de The Rise de Julien Lourau et le groupe de Marion Rampal. Il s’est aussi aventuré avec l’orchestre contemporain la Sourde et le metteur en scène Samuel Achache au théâtre de l’Athénée, avec le chanteur de folk indépendant Sam Amidon, le pianiste Allemand Pablo Held ou encore la chorégraphe de candomble brésilien Rosangela Sylvestre.

Depuis quinze ans, il trace un chemin original sur la scène jazz européenne et américaine,  en parallèle de son activité de sideman. Son premier disque One Way…Or Another a été décrit comme «ce qui est arrivé de mieux au jazz français depuis longtemps» par Vincent Bessières, il y joue notamment un duo avec le prodige Tigran Hamasyan. Pour le deuxième, Portraits, il rejoint l’exigeante maison de disque Sunnyside et crée une série de portraits musicaux des huit musiciens jouant sur le disque, dont Ben Wendel et Becca Stevens. Suit A Thing Called Joe, un disque en trio puisant dans le répertoire de Broadway, salué par la critique française et américaine comme un “classique”, suivi par plusieurs tournées avec les pianistes Sullivan Fortner et Sam Harris. La même année sort sur le label Fresh Sound un disque collaboratif enregistré à Los Angeles avec le contrebassiste Martin Nevin et le pianiste Richard Sears : Constant Stranger qui évoque Ellington et Scriabine. A son retour en France, il fonde un autre trio à 6 mains avec Benoit Delbecq et Etienne Renard, Triple Fever.

I’m Nice, tout premier disque du label Elstir Music, poursuit une démarche commencée par Turn The Sun To Green (Shed Music) en 2021, continuée avec Bottommost (Sense Music) en 2024 – constituer un songbook interprété toujours par les même musiciens et musiciennes : Desmond White à la contrebasse et Laurent Coq au piano, présents depuis Portraits, rejoints par Ralph Lavital à la guitare et Isabel Sörling au chant.. Cette musique prend racine autant chez les compositeurs russes, le folklore afro caribéen que dans la pop californienne. Texte et musique sont d’une importance égale, ce que le format Digisleeve permet de mettre en avant. Les pochettes sont conçues en collaboration avec des artistes visuels, Marie Larrivé sur Turn the Sun to Green et Bottommost, Lucas Malbrun pour I’m Nice, dans l’ambition de renforcer la dimension narrative du projet. Cet aspect est essentiel pour Guilhem Flouzat, ancien correspondant Jazz Magazine à New York, qui est aussi auteur de notes de livret pour les derniers disques de Flash Pig et Laurent Coq.

Guilhem Flouzat a appris l’art de la pulsation et posé les bases de son identité musicale lors de 7 ans passés à New York, où il a collaboré entre autres avec Lionel Loueke, Becca Stevens, Chris Cheek, Dave Liebman, Linda Oh ou encore Gilad Hekselman.

Il accompagne notamment le trio du pianiste Maxime Sanchez, l’Amazing Keystone Big Band, le projet Remember Stan Getz de Sylvain Rifflet, la reprise de The Rise de Julien Lourau et le groupe de Marion Rampal. Il s’est aussi aventuré avec l’orchestre contemporain la Sourde et le metteur en scène Samuel Achache au théâtre de l’Athénée, avec le chanteur de folk indépendant Sam Amidon, le pianiste Allemand Pablo Held ou encore la chorégraphe de candomble brésilien Rosangela Sylvestre.

Depuis quinze ans, il trace un chemin original sur la scène jazz européenne et américaine,  en parallèle de son activité de sideman. Son premier disque One Way…Or Another a été décrit comme «ce qui est arrivé de mieux au jazz français depuis longtemps» par Vincent Bessières, il y joue notamment un duo avec le prodige Tigran Hamasyan. Pour le deuxième, Portraits, il rejoint l’exigeante maison de disque Sunnyside et crée une série de portraits musicaux des huit musiciens jouant sur le disque, dont Ben Wendel et Becca Stevens. Suit A Thing Called Joe, un disque en trio puisant dans le répertoire de Broadway, salué par la critique française et américaine comme un “classique”, suivi par plusieurs tournées avec les pianistes Sullivan Fortner et Sam Harris. La même année sort sur le label Fresh Sound un disque collaboratif enregistré à Los Angeles avec le contrebassiste Martin Nevin et le pianiste Richard Sears : Constant Stranger qui évoque Ellington et Scriabine. A son retour en France, il fonde un autre trio à 6 mains avec Benoit Delbecq et Etienne Renard, Triple Fever.

I’m Nice, tout premier disque du label Elstir Music, poursuit une démarche commencée par Turn The Sun To Green (Shed Music) en 2021, continuée avec Bottommost (Sense Music) en 2024 – constituer un songbook interprété toujours par les même musiciens et musiciennes : Desmond White à la contrebasse et Laurent Coq au piano, présents depuis Portraits, rejoints par Ralph Lavital à la guitare et Isabel Sörling au chant.. Cette musique prend racine autant chez les compositeurs russes, le folklore afro caribéen que dans la pop californienne. Texte et musique sont d’une importance égale, ce que le format Digisleeve permet de mettre en avant. Les pochettes sont conçues en collaboration avec des artistes visuels, Marie Larrivé sur Turn the Sun to Green et Bottommost, Lucas Malbrun pour I’m Nice, dans l’ambition de renforcer la dimension narrative du projet. Cet aspect est essentiel pour Guilhem Flouzat, ancien correspondant Jazz Magazine à New York, qui est aussi auteur de notes de livret pour les derniers disques de Flash Pig et Laurent Coq.

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